Nwa 13512 #15 Aubrite – 0,4 g

36,00

Nwa 13512 est une météorite de type Aubrite découverte au Maroc près de Boudnib en 2019.

A ce jour seulement 72 météorites de ce type ont été classifiées.

C’est un type de météorite rare, difficile à trouver sur le marché.

Le nom des Aubrites est lié à la chute d’une météorite en France à Aubres en 1836. Elles sont composées principalement d’orthopyroxène à enstatite.

History : Three visually-similar specimens (total weight 105 g)

found together near Boudnib, Morocco were purchased by Mohammed Hmani in December 2019.

Petrography: (A. Irving, UWS and P. Carpenter, WUSL) The specimen has a mean grainsize of ~400 µm and is composed predominantly of equant grains of enstatite with subordinate sodic plagioclase and accessory altered Si-bearing kamacite, altered Cr-troilite and schreibersite.

Geochemistry: Enstatite (Fs0.2±0.0Wo0.6-0.7, N = 3), plagioclase (Ab91.4An2.6Or6.0; Ab76.4An21.4Or2.3; N = 2), kamacite (Si = 1.5 wt.%, Ni = 7.9 wt.%).

Classification: Aubrite.

Specimens: 20.5 g including one polished thin section at UWB; remainder with Mr. M. Hmani.

 

Nwa 13512 #14 Aubrite – 2,8 g

236,00

Nwa 13512 est une météorite de type Aubrite découverte au Maroc près de Boudnib en 2019.

A ce jour seulement 72 météorites de ce type ont été classifiées.

C’est un type de météorite rare, difficile à trouver sur le marché.

Le nom des Aubrites est lié à la chute d’une météorite en France à Aubres en 1836. Elles sont composées principalement d’orthopyroxène à enstatite.

History : Three visually-similar specimens (total weight 105 g)

found together near Boudnib, Morocco were purchased by Mohammed Hmani in December 2019.

Petrography: (A. Irving, UWS and P. Carpenter, WUSL) The specimen has a mean grainsize of ~400 µm and is composed predominantly of equant grains of enstatite with subordinate sodic plagioclase and accessory altered Si-bearing kamacite, altered Cr-troilite and schreibersite.

Geochemistry: Enstatite (Fs0.2±0.0Wo0.6-0.7, N = 3), plagioclase (Ab91.4An2.6Or6.0; Ab76.4An21.4Or2.3; N = 2), kamacite (Si = 1.5 wt.%, Ni = 7.9 wt.%).

Classification: Aubrite.

Specimens: 20.5 g including one polished thin section at UWB; remainder with Mr. M. Hmani.

 

NWA 5363 #13 Ach Ung – 0,8 g

47,00
NWA 5363 est une très rare météorite de type achondrite non groupée, proche des Brachinites.
Les scientifiques pensent que NWA 5363 est un éjecta de la collision qui s’est produite entre Théia, une petite planète de la taille de Mars, et la proto-Terre.
La collision entre Théia et la Terre a engendré notre satellite la Lune.
C’est donc une météorite unique !

 

NWA 5363 #12 Ach Ung – 0,7 g

41,00
NWA 5363 est une très rare météorite de type achondrite non groupée, proche des Brachinites.
Les scientifiques pensent que NWA 5363 est un éjecta de la collision qui s’est produite entre Théia, une petite planète de la taille de Mars, et la proto-Terre.
La collision entre Théia et la Terre a engendré notre satellite la Lune.
C’est donc une météorite unique !

 

NWA 5363 #11 Ach Ung – 0,9 g

53,00
NWA 5363 est une très rare météorite de type achondrite non groupée, proche des Brachinites.
Les scientifiques pensent que NWA 5363 est un éjecta de la collision qui s’est produite entre Théia, une petite planète de la taille de Mars, et la proto-Terre.
La collision entre Théia et la Terre a engendré notre satellite la Lune.
C’est donc une météorite unique !

 

NWA 5363 #10 Ach Ung – 0,9 g

53,00
NWA 5363 est une très rare météorite de type achondrite non groupée, proche des Brachinites.
Les scientifiques pensent que NWA 5363 est un éjecta de la collision qui s’est produite entre Théia, une petite planète de la taille de Mars, et la proto-Terre.
La collision entre Théia et la Terre a engendré notre satellite la Lune.
C’est donc une météorite unique !

 

NWA 5363 #9 Ach Ung – 0,6 g

35,00
NWA 5363 est une très rare météorite de type achondrite non groupée, proche des Brachinites.
Les scientifiques pensent que NWA 5363 est un éjecta de la collision qui s’est produite entre Théia, une petite planète de la taille de Mars, et la proto-Terre.
La collision entre Théia et la Terre a engendré notre satellite la Lune.
C’est donc une météorite unique !

 

Oued Awlitis 003 LL6 #25 – 3,2 g

7,00

Oued Awlitis 003 est une météorite de type LL6 bréchique de 1141 grammes.
Elle a  été découverte en 2011 près de village de Lemluia dans le Sahara Occidental.
D’autres météorites ont été trouvées dans le même secteur, une météorite lunaire Oued Awlitis 001
 et une météorite CV3 de type carbonée Oued Awlitis 002.
C’est une zone très riche ou d’autres météorites seront trouvées.

Oued Awlitis 003 LL6 #24 – 2,4 g

6,00

Oued Awlitis 003 est une météorite de type LL6 bréchique de 1141 grammes.
Elle a  été découverte en 2011 près de village de Lemluia dans le Sahara Occidental.
D’autres météorites ont été trouvées dans le même secteur, une météorite lunaire Oued Awlitis 001
 et une météorite CV3 de type carbonée Oued Awlitis 002.
C’est une zone très riche ou d’autres météorites seront trouvées.

Oued Awlitis 003 LL6 #23 – 9,3 g

19,00

Oued Awlitis 003 est une météorite de type LL6 bréchique de 1141 grammes.
Elle a  été découverte en 2011 près de village de Lemluia dans le Sahara Occidental.
D’autres météorites ont été trouvées dans le même secteur, une météorite lunaire Oued Awlitis 001
 et une météorite CV3 de type carbonée Oued Awlitis 002.
C’est une zone très riche ou d’autres météorites seront trouvées.

Oued Awlitis 003 LL6 #22 – 11 g

22,00

Oued Awlitis 003 est une météorite de type LL6 bréchique de 1141 grammes.
Elle a  été découverte en 2011 près de village de Lemluia dans le Sahara Occidental.
D’autres météorites ont été trouvées dans le même secteur, une météorite lunaire Oued Awlitis 001
 et une météorite CV3 de type carbonée Oued Awlitis 002.
C’est une zone très riche ou d’autres météorites seront trouvées.

Oued Awlitis 003 LL6 #21 – 5,3 g

11,00

Oued Awlitis 003 est une météorite de type LL6 bréchique de 1141 grammes.
Elle a  été découverte en 2011 près de village de Lemluia dans le Sahara Occidental.
D’autres météorites ont été trouvées dans le même secteur, une météorite lunaire Oued Awlitis 001
 et une météorite CV3 de type carbonée Oued Awlitis 002.
C’est une zone très riche ou d’autres météorites seront trouvées.

Oued Awlitis 003 LL6 #20 – 4,3 g

9,00

Oued Awlitis 003 est une météorite de type LL6 bréchique de 1141 grammes.
Elle a  été découverte en 2011 près de village de Lemluia dans le Sahara Occidental.
D’autres météorites ont été trouvées dans le même secteur, une météorite lunaire Oued Awlitis 001
 et une météorite CV3 de type carbonée Oued Awlitis 002.
C’est une zone très riche ou d’autres météorites seront trouvées.

Jikharra 001 Eucrite-melt breccia #22 – 220 g

520,00

Jikharra 001 est une météorite classée Eucrite-melt breccia de 2,5 tonnes.

Elle a été découverte en Lybie en 2022.

Cette météorite est vraiment l’exception qui confirme la règle !

En effet, la plupart des livres et revues sur les météorites nous apprennent que les météorites n’ont pas de bulles dans leur matrice.

NWA 13351 #19 Ach Ung – 4,3 g

47,00
NWA 13351 est une rare météorite de type achondrite non groupée avec une texture poikilitic ignée.
Elle a été achetée en 2020 en Mauritanie par deux marchands marocains, et a été classifiée par Anthony Irving.

 

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NWA 13351 #18 Ach Ung – 1,4 g

16,00
NWA 13351 est une rare météorite de type achondrite non groupée avec une texture poikilitic ignée.
Elle a été achetée en 2020 en Mauritanie par deux marchands marocains, et a été classifiée par Anthony Irving.

 

NWA 13351 #17 Ach Ung – 2,9 g

32,00
NWA 13351 est une rare météorite de type achondrite non groupée avec une texture poikilitic ignée.
Elle a été achetée en 2020 en Mauritanie par deux marchands marocains, et a été classifiée par Anthony Irving.

 

NWA 6516 CO3 #6 – 3,7 g

39,00

NWA 6516 est une très belle météorite de type carbonée CO3 de seulement 209 grammes.

Les météorites carbonées CO3 ont de petits chondres et quelques grains de métal.

Chute de référence :

Météorite d’Ornans (France) tombée le 11 juillet 1868 (6kg).

NWA 6516 a été analysée par Albert Jambon du Muséum d’Histoire Naturelle de Paris en 2009.